/image%2F1862931%2F20151008%2Fob_582703_aeit.jpg "L'histoire de la 6 ème Promotion LABAT")
MAJ 02/2024
| INFOS du 22 novembre 2018 |
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 Le TECHNI-FLASH de décembre 1969 a été rédigé par la 6 ème promotion. Vous pouvez le télécharger en cliquant l'image. Le journal retrouvé par votre camarade LAVILLE est très long à télécharger (30 secondes à 1 minute). Excellent souvenir , bonne lecture. |
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Bonjour la promotion, en septembre aura lieu le cinquantenaire de l'annexe de TULLE. Vous pouvez dès maintenant vous préinscrire pour faciliter le travail des organisateurs en cliquant sur le lien suivant.
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_________________________________________________________________________ Impressions sur la lecture de: Le soleil se lève toujours quelque part de Philippe GARCIA: Je viens de terminer de lire le livre de notre camarade Philippe GARCIA. (8 ème promotion) Livre que je vous recommande ; bien écrit en toute simplicité. A travers ses récits Philippe nous fait partager ses émotions ; ses expèriences ; ses décisions courageuses et rend un bel hommage à ces hommes et ces femmes rencontrés lors de ses périples. L'épisode " Khmers rouges " est assez impressionnant. Emouvant sa présence et son soutient en septembre 2013 à l'enterrement au Maroc de notre camarade de la 8° promo Jean Marc NITARD. Il n'oublie pas son passage à l'école d'Issoire, un chapitre y est consacré avec un mot de sympathie aux bénévoles qui oeuvrent pour maintenir la flamme Issoirienne. Il évoque le BURUNDI ; le CAMBODGE avec le projet dans lequel il s'est lancé " cheval d'avenir " programme d'édié aux enfants déshérités de la capitale. Le PARIS - DAKAR avec l'accident en 1987 d'Hubert AURIOL. Son audience privée en 2011 avec " le roi père " NORODOM SIHANOUK qui a été comme lui officier élève à l'école de cavalerie de SAUMUR. Philippe nous parle également de sa famille , de son père surtout. Il rend un bel hommage aux femmes. " Toutes ces femmes forcent l'admiration. Elles se battent dignement au quotidien et supportent courageusement les vicissitudes et les aléas de leurs vies, s'épuisant parfois jusqu'a leurs limites pour reconstruire sur des ruines. Des femmes qui, quelles que soient leur culture, leur religion, leur couleur, leur instruction ou leur richesse, nous civilisent quelque part toujours un peu. "
Voilà un trés beau livre que j'ai eu plaisir à lire. Portez vous bien Jacques Darre 8/114 |